club manga !

L'un des innombrables, mais surtout le chef-d'oeuvre le plus connu de miyasaki, mon voisin Totoro nous entraîne dans le monde de Satsuki et Mei, deux petites filles pétillantes de vie, remplies de rêves et d'émerveillement face a leur univers. Dans leur livre d'image préféré se trouve des créatures magiques : des noiraudes, et Totoro... Totoro est comme une peluche massive que nous voulons a tout prit câliner, quoique un poil intimidante avec son grand sourire jusqu'aux oreilles... 

Les deux enfants déménagent avec leur père a la campagne, afin d'être plus prêt de l’hôpital de leur mère. La nouvelle maison, très ancienne, recèle des petites boules de suies virevoltant dans l'air avec des yeux curieux : les noiraudes.

Quand a Totoro, il vit a l’intérieur d'un arbre millénaire, et fait la rencontre des deux sœurs devenues ses voisines...

Miyasaki nous plonge une fois encore dans un univers fantastique et haut en couleur qui ravira les plus jeunes et réveillera l'enfant tapit dans les plus grands.

 
 
Alors... Coment dire... Dans le genre début WTF!? on fait pas mieux je pense, un prof avec une tête de smiley et tout en tentacule, mesurant dans les 2 mètres a peu près s'apprête a faire cour avec ses élèves casqués comme  des snipers et la BAM! ils lui tire dessus ! et tout ça dans les deux premières pages du tome 1! J'aime beaucoup ce manga dans le sens où il critique "le droit chemin" et "la discrimination", oui car ses élèves sont défavorisées par un système qui permet aux autres de réussir. C'EST DÉGUEULASSE!!!

A cause de ce système que je ne vais pas spoiler vu qu'il a une place importante dans la psychologie des personnages, les élèves sont traités comme des déchets de l'humanité.

De l'autre côté, on a un drôle de prof qui peut faire ces têtes là :
 
Mis en avant ainsi, on pourrait croire qu'il soit du même genre de Reborn (je sens que je vais me faire massacrer par les fans TT_TT ) qui ne suit pas un cours très précis et qui s'éloigne rapidement du sujet, au contraire !
Assassination Classroom nous offre une réflexion, certes pas trop creusée mais qui est là, sur la discrimination, l'argent, et la valeur de la fiertés. Peut-on retrouver cette dernière par le biais de l'argent ? Peut-on traiter des personnes comme des déchets sous prétexte qu'ils sont dans une classe particulière ? Avons nous le droit de rejeter quelqu'un qui a besoin d'aide ? Je suis désolée de répondre "oui" a chacune de ces questions, car notre société d'aujourd'hui est ainsi.
Réfléchissez-y: Si vous avez de l'argent, même sale, vous aurez plus confiance en vous.
 
Si vous n'avez pas de travail dans le monde adulte, a un certain âge vous finissez par être rejetés. Les métiers sont "hiérarchisés" vous aurez plus de succès si vous êtes bien payés comme chirurgiens ou footballeur. A l'opposé vous n'en aurez aucun si vous n'êtes pas bien payés comme par exemple policier ou professeur. 
 
Et enfin, la dernière question à se poser, et sûrement la plus dure... Je vais y répondre par une autre question : Êtes-vous capables d'aider tout les SDF de France ? La réponse est évidemment non... Car nous nous disons une chose simple : On ne peut pas. Pourquoi ? Trop nombreux, des cas graves, une vie à gérer c'est déjà beaucoup et blablabla...
 
Ce sont des réflexions assez sombres n'est-ce pas ? Pourtant le manga parle de cela avec un très bon humour qui ne manque pas de charme ^^.

Boyfriend est une oeuvre de Soryo Fuyumi, sa première série à avoir du succès et qui lui permit d'atteindre une certaine renommée. Takato à 17 ans, il est considéré au lycée comme une sorte du dieu du basket. Mais son père de son côté à énormément de mal à remplir son rôle, en effet Takato est le seul de ses 3 frères a n'être pas né du même père. Takato veut tout faire pour se faire accepter mais le nombre de filles tombant sous son charme ne va pas arranger les choses...

Bride story signifie " histoire de mariée " et ce manga n'est pas un manga... C'est une œuvre d'art! 
Bon oui c'est vrai je considère tout les mangas comme des œuvres d'art à pars quelques exceptions mais avez vous vus les détails des vêtements, des accessoires, des objets, des meubles, des animaux? Avez vous vus la beauté des personnages unique pour chacun!? 

L'histoire se passe en Asie Centrale, le jeune Karlük de 12 ans se marie avec la belle Amir qui a hélas 21 ans... Pourtant hauteur ne va pas s'attarder très longtemps sur ce détail, elle le reprendra de temps en temps mais ce n'est pas le sujet principal de l'histoire, oui car le véritable sujet, c'est la vie. La vie quotidienne de ses personnages sont tout droit sortis des livres du voyage en bref rien n'est inventé! L'histoire est tellement prenante qu'à un moment donné, on est presque obligés de se prendre pour un touriste en visite en Asie Centrale! Mais revenant dans le vif du sujet, la famille d'Amir décidé d'annuler l'alliance pour la mariée à un autre homme qui leur serait plus profitable, mais voilà, la famille de Karlük considère Amir comme un membre à par entière de la famille et refuse de la laisser partir. Cela va entraîner une guerre de famille mais la encore, Kaoru Mori ne s'attarde pas et va plutôt nous parler du déroulement des noces qui sont bien mieux que nos mornes et interminables mariages religieux français ( comme par hasard! ) 
En clair, je conseille ce manga à tout les amateurs de belles choses!

Au Japon, il existe un jeu de carte, dit ringard par les adolescent mais que beaucoup de japonais trouve passionnant, tellement passionnant que des compétitions sont faites spécialement pour ce jeu, Chihaya est une petite collégienne de sixième qui voit le karuta comme un jeu familial sans plus, bonne en sport un peu garçon manqué, elle rêve de voir sa grande sœur devenir un jour la plus belle mannequin du Japon. 

Un jour elle fit la connaissance d'un petit nouveau dans la classe dénommé Arata Wataya, il n'est autre que le petit fils du plus grand joueur de karuta du Japon. Passionné tout comme son grand père, il fait découvrir ce sport à Chihaya qui devient très vite aussi passionnée qu'Arata.  Son nouvel objectif devient alors de surpasser le garçon et de devenir la Queen !

Le style de dessin de l'auteur est une touche de crayonné par ci par là qui donne une sensation de réalité subtile, dès la première page, on se sent suer à grosse gouttes et l'on se sent dans l'état euphorique dans lequel se trouve Chihaya et ses amis devant les cartes au sol. On rit, on pleure et surtout la passion vous prend, elle est là, tenace et ne voudra se terminer que quand vous connaîtrez le fin mot. Quand vous saurez que vos encouragement vis à vis de Yuki-sama auront portés leur fruits. 

De la part d'un des membres :

"Tout simplement magnifique, j'ai adoré dès le début. J'ai particulièrement aimé les compétitions, la tentions y est palpable ! le combat contre la Queen est tout simplement palpitant !"